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Avispa MIdia

Canadá y Oaxaca simulan hermandad con pueblos indígenas

Por Ñanì Pinto

En portada: Manifestación realizada en Oaxaca por comunidades indígenas en contra de la minera Cuzcatlán, filial de la canadiense Fortuna Silver Mines. Foto: Santiago Navarro F.

A unos días de concluir el evento denominado ‘Encuentros Indígenas Canadá-Oaxaca 2021’ organizado por el gobierno de México y Canadá entre el 20 de septiembre y el 8 de octubre de 2021, diversos pueblos, colectivos y comunidades indígenas de Oaxaca se deslindaron y denunciaron una “simulación de hermandad” con la que se pretende “desviar nuestra atención de los problemas estructurales y las situaciones de despojo y saqueo de las que pretenden hacernos objeto”.

En un posicionamiento firmado el 29 de septiembre por autoridades de San Pedro Apóstol y San Pedro Mártir, Ocotlán y de Capulálpam de Méndez, así como por las comunidades El Rebollero, Río Minas y Los Arquitos, San Pablo Cuatro Venados, Zaachila, se advierte que “el Estado Canadiense y el Estado Mexicano, a través del gobierno de Oaxaca, pretenden lavar sus rostros en lo que respecta a su relación colonial con las comunidades indígenas y afros”.

Comuneros, comuneras y pobladores hacen un recuento del dolor y la violencia colonial que han sufrido los pueblos y comunidades indígenas de ambos países, desde el reciente descubrimiento en Canadá de fosas con cientos de cuerpos de infantes en antiguos internados para niñas y niños indígenas, hasta las concesiones mineras en México que han sido otorgadas a empresas canadienses en tierras comunales sin el consentimiento de los pueblos, las cuales han causado conflictos socioambientales que han provocado el asesinato de defensores y la contaminación impune de ríos y suelos.

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“Según datos del Observatorio de Conflictos Mineros de América Latina, en México, el 50% de los conflictos mineros está relacionado directamente con empresas canadienses; de acuerdo con información contenida en el Sistema Integral Sobre Economía Minera, de las 242 empresas extranjeras con proyectos mineros en el país, 160 corresponden a Canadá; además de que el 74% de las concesiones para explotación mineras son otorgadas a empresas de dicho país” recalcan.

El comunicado también es firmado por el Comité Ixtepecano en Defensa de la Vida y el Territorio, el Espacio de Mujeres en Defensa de la Madre Tierra “Las Meñas”, el Colectivo Matza, San Miguel Chimalapas y la Articulación Por la Vida, Contra la Minería en el Valle de Ocotlán.

En el documento, los colectivos y las comunidades que han vivido en carne propia el embate de megaproyectos de capital extranjero con la anuencia de las autoridades locales, advierten que no le van a permitir ni material ni simbólicamente el avance “a quienes con sus leyes justifican o facilitan el exterminio indígena (…) a quienes confunden nuestra historia de resistencia con folklor y a quienes ocultan sus negocios tras la expresión “hermandad cultural”.

Los “Encuentros Indígenas Canadá-Oaxaca 2021” surgieron “gracias a la invitación del Presidente de México, Andrés Manuel López Obrador, al Primer Ministro de Canadá, Justin Trudeau, a sumarse a las diferentes conmemoraciones que México celebra este 2021”. Así lo establecen en su página web. “En ese contexto, se decidió hermanar al pueblo de Canadá con el pueblo oaxaqueño”.

Mientras tanto, las comunidades señalan que se encuentran en alerta máxima ante este acto de simulación de hermandad. “Sabemos que sus intereses son y serán siempre otros. Los lazos de afinidad y reciprocidad con lxs indígenas de Isla Tortuga los tejeremos nosotrxs, con el objetivo de extender nuestra resistencia, hasta que las praderas, montañas, ríos y animales vuelvan a ser libres, hasta que la resistencia nos permita vivir con dignidad, y no a la sombra de un deber ser impuesto y construido por aquellos que duplican sus inversiones gracias a nuestro exterminio”, finaliza el documento de denuncia.

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MedyaNews

Alemania | Zapatistas se reúnen con mujeres kurdas

Mujeres kurdas y mujeres del movimiento zapatista se declaran hermanas del alma en su lucha por la libertad

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Radio Zapatista

La longue histoire de violence paramilitaire et d’impunité de l’ORCAO

15 septembre 2021

Samedi dernier, le 11 septembre 2021, comme le dénonce le Réseau Ajmaq, deux membres du Conseil de bon gouvernement « Patria Nueva », du Caracol 10 (Ocosingo), ont été séquestrés par l’Organisation régionale des caféiculteurs d’Ocosingo (ORCAO). À ce jour, les autorités zapatistes, José Antonio Sánchez Juárez et Sebastián Núñez Pérez, sont portés disparus. Du Collectif Radio zapatiste, nous lançons un appel à la solidarité nationale et internationale pour exiger leur libération immédiate.

L’ORCAO, dénoncée de manière répétée par les Conseil de bon gouvernement comme étant une organisation paramilitaire, agresse les communautés zapatistes depuis plus de 20 ans avec une violence croissante et en totale impunité.

L’ORCAO a été fondée en 1988 par 12 communautés de la municipalité d’Ocosingo, au Chiapas, comme une organisation de lutte légitime qui revendiquait de meilleurs prix pour le café et une solution aux conditions rudimentaires de l’agriculture. En peu de temps, de nombreuses communautés supplémentaires l’ont rejointe. Pendant des années, l’ORCAO a entretenu des liens avec le zapatisme. Pourtant, ces derniers ont été rompus quand, à la fin des années 90, l’organisation, comme tant d’autres, a cédé à la tentation de négocier des aides gouvernementales et des postes publics en échanges de faveurs.

La rupture s’est agravée avec l’arrivée de Pablo Salazar au poste de gouverneur du Chiapas en 2000. L’ORCAO a alors abandonné la lutte et s’est alliée avec le gouvernement, rompant avec l’EZLN pour avoir accès à l’argent public.

À partir de ce moment, les agressions sont devenues de plus en plus fréquentes et violentes.

Nous faisons ici un résumé de ce qui a marqué la trajectoire de violence de cette organisation depuis cette époque.

En juin 2002, environ 70 membres de l’ORCAO ont attaqué avec des pierres, des gourdins, des fusils, des chaînes et des machettes des bases d’appui zapatistes à Nuevo Poblado Javier López, municipialité autonome de Francisco Gómez, avec la complicité et le soutien de la police.

En juin 2002, des membres de l’ORCAO de Sibacá ont détruit deux hectares de culture de la municipalité autonome Primero de Enero, en plus de démolir des clôtures à Pomalá, de menacer les habitants de López-Chamizal, d’expulser des zapatistes de Ucumiljá y Ja’ten’chib (Ocosingo) et de les forcer à quitter leurs maisons à coups de feu à San Pedro Buena Vista (Sitalá), les dépouillant ainsi de 30 hectares de terres et leur volant leurs maisons et leurs biens.

En janvier 2009, alors que l’EZLN célébrait le Festival de la digne rage à San Cristóbal de Las Casas, des membres de l’ORCAO ont attaqué et essayé de prendre à des bases d’appui zapatistes, un terrain de 500 hectares à Bosque Bonito, municipalité autonome Che Guevara. Peu après, 220 personnes de l’ORCAO, à bord de 19 camions et camionnettes, ont essayé de pénétrer de force dans le caracol de Morelia. A peu près aux mêmes dates, l’ORCAO a aussi bloqué aussi le passage à des zapatistes qui transportaient du bois pour la construction de nouveaux espaces pour l’école autonome de Primero de Enero.

En avril de la même année, pendant que la police de secteur et le groupe paramilitaire OPDDIC attaquaient et harcelaient les zapatistes autour des cascades d’Agua Azul, des membres de l’ORCAO menaçaient de mort les zapatistes, essayaient de brûler le magasin collectif du carrefour de Cuxuljá (acte effectué en août 2020) et incendiaient 60 hectares.

A la fin de cette année, les Conseils de bon gouvernement de La Garrucha et de Morelia ont dénoncé le fait que l’ORCAO avait organisé un groupe pour se rendre maître du marché paysan d’Ocosingo, en expulsant les zapatistes.

En juillet 2011, des membres de l’ORCAO ont envahi des terres récupérées par l’EZLN dans la localité d’El Paraíso, et ce, après diverses attaques antérieures, entre mars et juin 2011, au cours desquelles ils ont détruit 4500 plants de café, un demi-hectare de canne à sucre et un demi-hectare de maïs, en plus d’avoir volé du bétail, du fil de fer, et d’avoir coupé du bois. En juin de cette même année, des membres de la ORCAO ont séquestré et torturé deux zapatistes à Ocosingo.

En août 2011, des paramilitaires de l’ORCAO ont détruit une maison destinée aux observateurs dans la communauté de l’Ejido Patria Nueva, qui appartenait alors au caracol de Morelia. Ce même mois, 12 groupes armés de la ORCAO ont agressé des bases d’appui zapatistes avec des armes à feu, des pierres et des bâtons.

En mai 2012, la JBG de Morelia a dénoncé des confiscations de terres par l’ORCAO dans les municipalités autonomes du 17 Novembre et de Lucio Cabañas. En août de la même année, l’ORCAO a réalisé plusieurs attaques armées contre des bases d’appui zapatistes, selon la JBG de Morelia.

En juillet et en août 2014, des membres de l’ORCAO ont mené une série d’attaques et ont expulsé des bases d’appui zapatistes de la municipalité autonome de San Manuel, caracol de La Garrucha, juste avant que ne se réalise le partage entre peuples originels du pays au caracol de la Realidad, en août de cette année. (voir Action urgente du Frayba.)

Le 23 février 2020, des membres du Congrès national indigène (CNI) des communautés de San Antonio Bulujib y Guaquitepec, de la municipalité de Chilón, y compris deux bébés, ont été frappés et séquestrés par des membres de l’ORCAO et du groupe paramilitaire Los Chinchulines, ainsi que des membres du parti MORENA, en représailles pour avoir participé aux Journées en défense du territoire et de la Terre Mère ” Nous sommes tous et toutes Samir” (voir dénonciation du CNI).

Le 22 août 2020, des membres de l’ORCAO ont saccagé et incendié deux entrepôts de maïs et de café appartenant à des bases d’appui zapatistes, au carrefour de Cuxuljá, entre Oxchuc y Ocosingo, dans la municipalité autonome de Lucio Cabañas, ce qui a déchenché une forte condamnation nationale et internationale.

(Voir le rapport de la Caravane solidaire des communautés zapatistes de Moisés Gandhi et de Nuevo San Gregorio. Voir aussi ce reportage de Avispa Mídia et cet autre en Pie de Página).

Le 8 novembre de cette même année, l’ORCAO a séquestré et torturé le base d’appui zapatiste Félix López Hernández, libéré grâce à la pression nationale et internationale quelques jours plus tard. Dans la même dénonciation, la JBG de Patria Nueva affirme que l’ORCAO a reçu des aides du gouvernement pour construire une école, mais qu’elle les a utilisées pour acheter des armes de gros calibre, avec la probable complicité du gouvernement de la 4T.

En janvier 2021, le Centre de droits humains Fray Bartolomé de Las Casas rapportait de nouvelles agressions armées de l’ORCAO à l’encontre de la communauté Moisés Gandhi. En avril de cette même année, alors qu’ils se rendaient à une réunion à Palenque, deux membres de ce Centre de droits humains ont été séquestrés dans le village de San Felipe, habité en majorité par des membres de l’ORCAO, ce qui fait que tout indique que c’était un acte en représailles du travail de documentation du Centre de ce Centre.

Ce n’est pas un hasard que la séquestration des deux membres du Conseil de bon gouvernement du Caracol 10 Patria Nueva se fasse dans le contexte de la Traversée pour la Vie, juste au moment où la délégation aérienne zapatiste arrive à Vienne pour commencer une série de réunions avec des collectifs et des organisations de gauche sur le territoire européen. Face à la lutte pour la vie, la violence paramilitaire impunie est incitée par le gouvernement de la soi-disant Quatrième Transformation.

Nous nous joignons à l’exigeance de la libération immédiate de José Antonio Sánchez Juárez et de Sebastián Núñez Pérez, et de la fin des agressions et de l’impunité dont jouit l’Organisation régionale des caféiculteurs d’Ocosingo (ORCAO).

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Enlace Zapatista

HAY UNA MUJER. Contra la destrucción de la Naturaleza. Austria, Viena

PALABRAS DE LAS COMUNIDADES ZAPATISTAS EN OCASIÓN DE LA MARCHA CONTRA LA DESTRUCCIÓN DE LA NATURALEZA.
En Viena, Austria.  En voz de la compañera Libertad, el día 24 de septiembre del 2021.

Buenas tardes.

Ésta es nuestra pequeña palabra en una pequeña historia:

Hay una mujer.

No importa el color de su piel, porque tiene todos los colores.

No importa su idioma, porque escucha todas las lenguas.

No importa su raza y su cultura, porque en ella habitan todos los modos.

No importa su tamaño, porque es grande y sin embargo cabe en una mano.

Todos los días y a todas horas esa mujer es violentada, golpeada, herida, violada, burlada, despreciada.

Un macho ejerce sobre ella su poder. 

Todos los días y a todas horas, ella viene a nosotras, nosotros, nosotroas.

Nos muestra sus heridas, sus dolores, sus penas.

Y sólo le damos palabras de consuelo, de lástima. 

O la ignoramos.

Tal vez como limosna le damos algo para que cure sus heridas.

Pero el macho sigue su violencia.

Nosotras y ustedes sabemos en qué terminará eso.

Ella será asesinada y con su muerte morirá todo.

Podemos seguir dándole sólo palabras de aliento y medicinas para sus males.

O podemos decirle la verdad: la única medicina que puede curarla y sanarla por completo, es que enfrente y destruya a quien la violenta.

Y podemos también, y en consecuencia, unirnos a ella y pelear a su lado.

A esa mujer nosotros los pueblos zapatistas la llamamos: “madre tierra”.

Al macho que la oprime y la humilla, pónganle el nombre, el rostro y la figura que ustedes quieran.

Nosotros los pueblos zapatistas llamamos a ese macho asesino con un nombre: capitalismo.

Y hemos llegado hasta estas geografías para preguntar, para preguntarles.

¿Vamos a seguir pensando que con pomadas y calmantes se solucionan los golpes de hoy, aunque sabemos que mañana será más grande y profunda la herida?

¿O vamos a pelear junto con ella?

Nosotras las comunidades zapatistas hemos decidido luchar junto a ella, por ella y para ella.

Es todo lo que podemos decirles.

Muchas gracias por escucharnos.
Viena, Austria, Europa, Planeta Tierra.
24 de septiembre del 2021.

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Regeneraciòn Radio

Lo que el zapatismo cosechó

Por Sandra Suaste y Luis Suaste
Ciudad de México, 24 de septiembre.

Entre la gente se escuchan algunos murmullos anecdóticos sobre el zapatismo. Dentro de esta manifestación de centenares de personas surgen muchas respuestas. Aunque nadie hizo ninguna pregunta específica, pero las historias de vida suenan, como un murmullo alterno al mitin frente a la Secretaría de Gobernación. En colectivo, las voces bajitas dan respuesta a esto: ¿Qué significa estar ahí?

Todas las personas llevan en su memoria algún acontecimiento: el levantamiento armado de 1994; las caravanas de ayuda humanitaria de 1998; la marcha de los 1111 zapatistas; la marcha del color de la tierra; La otra campaña, el festival de La digna rabia, el estruendoso silencio de 2012 con la marcha en San Cristóbal de las Casas, Chiapas; la Escuelita Zapatista, los festivales de ConCiencia y CompArte; el Encuentro de mujeres y ahora, la Gira en Europa.

¿Y tú cuál llevas en tu corazón? Es algo que -si eres simpatizante- seguramente ya te respondiste.

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Colectivo Grieta

Acciones dislocadas para exigir el alto a la guerra paramilitar en diversas ciudades del país

Colectivo Grieta

Ayer, 24 de septiembre del 2021, colectivos, organizaciones e individuos de abajo y a la izquierda salieron a las calles a exigir se detenga la guerra paramilitar en contra de las comunidades zapatistas.

En un comunicado del 19 de septiembre, a nombre del CCRI-CG del EZLN, el Subcomandante Insurgente Galeano informó del secuestro de dos compañeros autoridades autónomas de la Junta de Buen Gobierno Patria Nueva, a manos de la organización paramilitar ORCAO, que actúa bajo la protección del desgobierno de Rutilio Escandón. Después de 8 días de secuestro, los compañeros Sebastián Núñez Pérez y Jose Antonio Sánchez Juárez fueron liberados gracias a la intervención de los párrocos de San Cristóbal de las Casas y Oxchuc, quienes evitaron que el conflicto escalara hasta llegar a una tragedia, según informó el Subcomandante Galeano en dicho comunicado. El grupo paramilitar también dispara armas de fuego todas las noches en contra de la comunidad Moisés y Gandhi.

En respuesta al llamado realizado hacia el final del comunicado para manifestarse en embajadas, consulados y en las casas del gobierno de Chiapas, diversas organizaciones, colectivos e individuos se movilizaron para repudiar los ataques paramilitares de la ORCAO y exigir que se abandone el culto a la muerte que profesan el gobierno, sus funcionarios y criminales a sueldo.

Morelia, Michoacán.

En punto de las 11 am colectivos simpatizantes al  Ejercicio Zapatista de Liberación Nacional y los pueblos zapatistas en lucha, se manifestaron en contra de la guerra paramilitar hacia las  comunidades zapatistas en Chiapas.

Miembros de la Red de Rebeldía y Resistencia de Morelia,  realizaron una manifestación frente a palacio de gobierno del estado de Michoacán con carteles y mantas  para manifestar su solidaridad con las comunidades zapatistas, y su repudio a las agresiones del grupo paramilitar ORCAO.

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Radio Zapatista

Acción global de apoyo al EZLN en la CDMX.

El pasado 19 de septiembre, el Comité Clandestino Revolucionario Indígena-Comandancia General del EZLN denunció el secuestro de 2 miembros de la Junta de Buen Gobierno Patria Nueva, por parte de miembros de la ORCAO, una organización paramilitar al servicio del Estado. Ésta fue la más reciente agresión, sin embargo, no ha sido la única, pues desde hace más de 20 años, la ORCAO ha perpetrado distintos ataques en contra de las comunidades zapatistas. Ante la complicidad y omisión del gobierno estatal y federal, el EZLN hizo un llamado a la Sexta nacional e internacional a manifestarse en las distintas latidudes para exigir, una vez más, ¡alto a la guerra en Chiapas!

El llamado del EZLN a la movilización tuvo respuesta en más de 40 ciudades alrededor del mundo. En la Ciudad de México, diversos colectivos, organizaciones, redes de resistencia y rebeldía, adherentes a la Sexta Declaración y padres y madres de Ayotzinapa, marcharon sobre Av. Reforma y realizaron un mitin en las oficinas de la Secretaria de Gobernación (SEGOB).

Registro fotográfico:

 

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Nodo de Derechos Humanos

HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN Twittazo contra la guerra y el olvido en #Chiapas

HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN
Twittazo contra la guerra y el olvido en #Chiapas

Compas de ésta complicada y dolorosa América Latina. En #México mientras celebran la #CELAC, en #Chiapas crece la guerra. Éste 24-S durante 5 min envíen un twitt x minuto a la embajada de México en su país. Mientras los poderosos se reúnen, Nosotroas entrelazamos resistencias

HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN

#ApoyoTotalEZLN
#ChiapasSinParamilitares

Propuestas de Twitts (agregando al inicio la dirección de la Embajada de México de su país, abajo están las direcciones de Twitter de cada embajada):

1. _______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

2. _______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard Alto a la impunidad paramilitar en #Chiapas y a la complicidad del Estado https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

3. _______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard SI AGREDEN A L@S #ZAPATISTAS AGREDEN A MILES DE MOVIMIENTOS DE MÉXICO Y DEL MUNDO https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

4._______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard EL RESPETO A LOS DERECHOS INDÍGENAS NO PUEDE SER OTRA PIEZA RETÓRICA Basta de impunidad y encubrimiento a los paramilitares https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

5. _______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard ALTO AL ENCUBRIMIENTO DE CRÍMENES DE PODER Y DE PARAMILITARES https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

Embajadas de México en los países de la #CELAC:

Antigua y Barbuda
@EmbamexSL

Argentina
@EmbaMexAr

Bahamas
@EmbaMexJam

Barbados
@EmbaMexTT

Belice
@EmbaMexBee

Bolivia
@EmbaMexBol

Brasil
@EmbaMexBra

Chile
@EmbaMexChi

Colombia
@EmbaMexCol

Costa Rica
@EmbaMexCri

Cuba
@EmbaMexCuba

Dominica
@EmbamexSL

Ecuador
@EmbaMexEcu

El Salvador
@embamexesa

Granada
@EmbamexSL

Guatemala
@EmbaMexGua

Guyana
@EmbamexGuyana

Haití
@EmbamexHaiti

Honduras
@EmbaMexHonduras

Jamaica
@EmbaMexJam

México

Nicaragua
@EmbaMexNic

Panamá
@EmbaMexPan

Paraguay
@EmbaMexPay

Perú
@EmbaMexPer

República Dominicana
@EmbamexREPDOM

San Cristóbal y Nieves
@EmbamexSL

Santa Lucía
@EmbamexSL

San Vicente y las Granadinas
@EmbamexSL

Surinam
@EmbaMexTT

Trinidad y Tobago
@EmbaMexTT

Uruguay
@EmbaMexUru

Venezuela
@EmbamexVen

Nodo de Derechos Humanos (https://nodho.net/uncategorized/hoy-decimos-basta-a-la-guerra-vs-el-ezln/)
HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN, Nodo de Derechos Humanos
Twittazo contra la guerra y el olvido en #Chiapas Compas de ésta complicada y dolorosa América Latina.

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Organización Vineketik en Resistencia

Comunicado de nuestro compañero Marcelino Ruiz preso en lucha exigiendo el cese de los hostigamientocontra lxs zapatistas y solidarizandoce con ellxs

CERSS No 10
Comitán, Chiapas, Mexico.

Comunicado de presxs indígenas en lucha

Organización Vineketik en Resistencia, adherente a la Sexta Declaración de la Selva Lacandona del EZLN

Al Ejercito Zapatista de Liberación Nacional.
A la Sociedad Civil nacional e internacional.
Al Congreso Nacional Indígena.
Al Consejo Indígena de Gobierno.
A los medios de comunicación.
Al Pueblo Creyente.
Al pueblo de México y del mundo.

La organización Vineketik en Resistencia repudiamos el acto criminal del secuestro de los dos compañeros zapatistas, ya liberados. Le exigimos al gobierno que cese los hostigamientos a los pueblos autónomos, a los indígenas y campesinos.
Ya que el gobierno corrupto a implementado una serie de estrategias como el secuestro, las desapariciones forzadas, los encarcelamientos con delitos prefabricados, acciones de contrainsurgencia en contra de los pueblos autónomos para intimidar a los pueblos que luchan y resisten al gobierno y sus sistema corrupto.

Al mismo tiempo expresamos nuestra solidaridad a nuestrxs compañrxs zapatistas y decirles que juntxs seguiremos tejiendo rebeldía para construir un mundo con justicia y libertad con conciencia.

Desde mi lugar de lucha y resistencia les envío un saludo combativo.

¡Samir vive!

¡Simon Pedro vive!

¡Justicia para Ayotzinapa!

¡Viva el EZLN!

Atentamente

Marcelino Ruiz Gómez

Organización Vineketik en Resistencia

Puede ser arte de 2 personas
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Colectivos, organizaciones e individuos

Individuos y organizaciones alrededor del mundo manifiestan solidaridad con Chiapas

POR LA VIDA

A LOS GOBIERNOS DE MÉXICO
A LOS PUEBLOS DE MÉXICO Y DEL MUNDO
A TODAS LAS PERSONAS DISPUESTAS A VIVIR, ES DECIR, A LUCHAR

Las recientes agresiones a autoridades zapatistas son la culminación de una escalada de ataques y provocaciones contra comunidades – zapatistas y no zapatistas – de Chiapas por manos paramilitares cuyo carácter todo mundo conoce: los malos gobiernos buscan la rendición de quienes resisten el despojo que promueven, o peor aún, quieren provocar una trágica confrontación violenta que sería pretexto para una gran represión, a fin de remover obstáculos de su camino destructor, que arrasa por igual la Madre Tierra y el tejido social.

¡No lo permitiremos!

Deben saber esos malos gobiernos, igual que sus personeros o lacayos, que no sólo enfrentan la bien organizada fuerza de los pueblos zapatistas, claramente decididxs a ejercer su legítimo derecho a la autodefensa. Han puesto a prueba todos los medios pacíficos de acuerdo y conciliación y sólo han encontrado indiferencia e irresponsabilidad. Se agota ya su paciencia. Junto a ellos, junto a las comunidades y los pueblos zapatistas, junto a los cientos de comunidades agredidas por el actual régimen, estamos decididxs a frenar este impulso criminal que no parece tener otra salida que la violencia.

Demostraremos este día 24 que estamos decididxs a reaccionar. En silencio o a gritos, en calles y plazas, ante las embajadas o los edificios públicos, en espacios de trabajo, en donde quiera que estemos y por todos los medios a nuestro alcance, mostraremos nuestra resistencia solidaria a los atropellos absolutamente ilegales que se realizan con la abierta complicidad de quienes tienen la obligación legal y política de impedirlos.

No nos engaña la máscara paramilitar. Es el Estado. No aceptaremos su culto a la muerte. Saldremos este viernes 24 a defender la vida.

Si deseas adherirte a este llamado, envía un correo con tu nombre y los datos que desees compartir a contactounitierra@gmail.com

Firman:

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