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Chiapas

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Mujeres de Medios Libres

(Español) Stop à la guerre au Chiapas !

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(En español aquí.)

« ARRÊTEZ DE JOUER AVEC LA VIE, LA LIBERTÉ ET LES BIENS DES CHIAPANÈQUES. »
Extrait du communiqué du CCRI-CG de l’EZLN, le 19 septembre 2021.


Autoféfenses du peuple El Machete. Photo: José Santiz

22 septembre. Vienne. La situation de violence au Chiapas se poursuit et l’EZLN lance l’alerte aujourd’hui sur un état « au bord de la guerre civile ». Pour comprendre ce qu’il se passe, il faut observer sous différents angles l’origine et la systématisation des violences. Ce texte, non exhaustif, tente de donner une vision d’ensemble aux processus en cours dans l’État du Sud-est mexicain, en mettant en évidence quelques thèmes et conflits.

Vendredi 17 septembre 2021, à Vienne, en Autriche, environ 20 femmes et 30 hommes zapatistes de la délégation aérienne, « La Extemporánea », récemment arrivée dans cette ville, sont venus renforcer le contingent rassemblé devant l’ambassade du Mexique.


Concentration face â l’ambassade du Mexique, à Vienne, 17 septembre.

Cet acte de protestation a inauguré une grande campagne pour dénoncer le paramilitarisme et la violence au Chiapas et exiger l’apparition en vie de José Antonio Sánchez Juárez et Sebastián Núñez Pérez, zapatistes, membres du Conseil de bon gouvernement (JBG) « Nuevo Amanecer en Resistencia y Rebeldía por la Vida y la Humanidad » [« Aube nouvelle en résistance et en rébellion pour la vie et l’humanité », ndt], du Caracol 10, « Floreciendo la Semilla Rebelde » [« Quand fleurit la graine rebelle »], situé près de Patria Nueva, non loin d’Ocosingo, au Chiapas.

Les deux compañeros avaient été séquestrés le 11 septembre par des membres de l’Organisation régionale des caféiculteurs d’Ocosingo (ORCAO) – laquelle a une longue histoire de violence paramilitaire et d’impunité dans la région – alors que la délégation zapatiste aéroportée commençait son voyage. Selon le communiqué du Comité clandestin révolutionnaire indigène-Commandement général (CCRI-CG) de l’EZLN, ils ont été libérés le 19 septembre, grâce à l’intervention des prêtres de San Cristóbal de Las Casas et d’Oxchuc, appartenant au Diocèse de San Cristóbal.

Face au bâtiment de la diplomatie mexicaine à Vienne, la solidarité internationale s’est manifestée par la présence de dizaines d’activistes de toute l’Europe qui ont dénoncé grâce à leurs microphones, banderoles et pancartes, l’implication du gouvernement du Mexique dans la réactivation des violences contre-insurrectionnelles. Les prises de paroles en espagnol, allemand, grec, français, portugais et galicien, ainsi que le récent communiqué signé par de nombreuses organisations, collectifs et individus d’Europe tiennent pour responsables tant le gouvernement fédéral d’Andrés Manuel López Obrador (AMLO) que le gouvernement de l’État du Chiapas de Rutilio Escandón Cadenas, en raison de leur complicité avec les attaques paramilitaires perpétrées non seulement contre des paysans mayas zapatistes mais aussi contre des compañeras et compañeros défenseur.ses de droits humains et contre des communautés du Chiapas.

Comme le relate la dénonciation du Réseau AJMAQ, signée par de nombreuses organisations sociales et des collectifs du monde entier, en ce mois de septembre, le paramilitarisme du Chiapas intensifie ses actions délinquantes.

« Cette escalade de la violence orchestrée depuis les hauts lieux de pouvoir du gouvernement a pour contexte la « Traversée pour la vie – Chapitre Europe » de l’EZLN, une initiative d’organisation qui cherche à étendre, de manière pacifique et créative, la graine de la résistance et de la rébellion pour l’humanité et la Terre Mère, c’est-à-dire pour la Vie. »

Rappelons que la première délégation zapatiste, l’Escadron 421, est partie du Mexique vers l’Europe en bateau le 2 mai. Le 14 septembre, c’est l’Extemporánea, délégation aérienne de l’EZLN, qui est arrivée sur les terres de Slumil K’ajxemk’op/Terre Rebelle (auparavant Europe) et qu’elle a été rejointe le 22 septembre par une délégation du Congrès national indigène (CNI) et du Front des peuples en défense de la terre et de l’eau-Morelos, Puebla, Tlaxcala (FPDTA-MPT) dans le but d’écouter et de dialoguer avec les luttes d’en bas, à gauche. Depuis le 1er janvier 2021, l’EZLN a rendu publique sa Déclaration pour la vie, signée par des centaines de collectifs de l’autre Europe.

« Nous sommes là et nous y resterons jusqu’à la présentation en vie des compañeros. Ce Voyage a déjà commencé et personne ne l’arrêtera », a dit au micro, en allemand et en espagnol, une compañera activiste devant le bâtiment de la diplomatie mexicaine.

Qui est le groupe paramilitaire que dénonce l’EZLN ?

Radio Zapatista, dans « La longue histoire de violence paramilitaire et d’impunité de l’ORCAO », rappelle que l’Organisation régionale des caféiculteurs d’Ocosingo, dénoncée de manière répétée par les Conseils de bon gouvernement comme étant une organisation paramilitaire, agresse les communautés zapatistes depuis plus de 20 ans avec une violence croissante et en totale impunité.

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Enlace Zapatista

THERE IS A WOMAN. Against the destruction of nature. Vienna, Austria

WORDS OF THE ZAPATISTA COMMUNITIES AT THE MARCH AGAINST THE DESTRUCTION OF NATURE
Vienna, Austria. In the voice of compañera Libertad, September 24, 2021.

Good afternoon.

These are our brief words in the form of a short story:

There is a woman.

The color of her skin does not matter, because she has all colors.

Her language does not matter, because she understands all languages.

Neither her race nor her culture matter, because all ways of being live in her.

Her size does not matter, because she is huge and nevertheless fits in one hand.

Every day and at all moments that woman is assaulted, beaten, wounded, raped, mocked and despised.

A male exerts his power over her.

Every day and every hour, she comes to us [nosotras, nosotros, nosotroas].

She shows us her wounds, her pain, her grief.

And we only give her words of consolation and pity.

Or we ignore her.

Perhaps as alms we give her something with which to treat her wounds.

But the man continues his violence.

We all know how this ends.

She will be murdered and with her death everything will die.

We can continue to give her only words of encouragement and medicine for her wounds.

Or we can tell her the truth: the only medicine that can cure her and heal her completely is for her to confront and destroy the one who is hurting her.

Knowing this, we too can unite with her and fight by her side.

We Zapatistas call that woman, “Mother Earth.”

As for the man who oppresses and humiliates her, give him whatever name, face, or shape you want.

We, the Zapatista peoples, call that murderous man capitalism.

And we have arrived at these geographies to ask, to ask of you:

Are we going to go on thinking that we can treat today’s blows with salve and painkillers, even though we know the wound will be bigger and deeper tomorrow?

Or are we going to fight alongside her?

We the Zapatista communities have decided to fight together with her and for her.

That is all we can say.

Thank you for listening to us.
Vienna, Austria, Europe, Planet Earth.
September 24, 2021.

 

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Regeneraciòn Radio

(Español) Lo que el zapatismo cosechó

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Por Sandra Suaste y Luis Suaste
Ciudad de México, 24 de septiembre.

Entre la gente se escuchan algunos murmullos anecdóticos sobre el zapatismo. Dentro de esta manifestación de centenares de personas surgen muchas respuestas. Aunque nadie hizo ninguna pregunta específica, pero las historias de vida suenan, como un murmullo alterno al mitin frente a la Secretaría de Gobernación. En colectivo, las voces bajitas dan respuesta a esto: ¿Qué significa estar ahí?

Todas las personas llevan en su memoria algún acontecimiento: el levantamiento armado de 1994; las caravanas de ayuda humanitaria de 1998; la marcha de los 1111 zapatistas; la marcha del color de la tierra; La otra campaña, el festival de La digna rabia, el estruendoso silencio de 2012 con la marcha en San Cristóbal de las Casas, Chiapas; la Escuelita Zapatista, los festivales de ConCiencia y CompArte; el Encuentro de mujeres y ahora, la Gira en Europa.

¿Y tú cuál llevas en tu corazón? Es algo que -si eres simpatizante- seguramente ya te respondiste.

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Colectivo Grieta

(Español) Acciones dislocadas para exigir el alto a la guerra paramilitar en diversas ciudades del país

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Colectivo Grieta

Ayer, 24 de septiembre del 2021, colectivos, organizaciones e individuos de abajo y a la izquierda salieron a las calles a exigir se detenga la guerra paramilitar en contra de las comunidades zapatistas.

En un comunicado del 19 de septiembre, a nombre del CCRI-CG del EZLN, el Subcomandante Insurgente Galeano informó del secuestro de dos compañeros autoridades autónomas de la Junta de Buen Gobierno Patria Nueva, a manos de la organización paramilitar ORCAO, que actúa bajo la protección del desgobierno de Rutilio Escandón. Después de 8 días de secuestro, los compañeros Sebastián Núñez Pérez y Jose Antonio Sánchez Juárez fueron liberados gracias a la intervención de los párrocos de San Cristóbal de las Casas y Oxchuc, quienes evitaron que el conflicto escalara hasta llegar a una tragedia, según informó el Subcomandante Galeano en dicho comunicado. El grupo paramilitar también dispara armas de fuego todas las noches en contra de la comunidad Moisés y Gandhi.

En respuesta al llamado realizado hacia el final del comunicado para manifestarse en embajadas, consulados y en las casas del gobierno de Chiapas, diversas organizaciones, colectivos e individuos se movilizaron para repudiar los ataques paramilitares de la ORCAO y exigir que se abandone el culto a la muerte que profesan el gobierno, sus funcionarios y criminales a sueldo.

Morelia, Michoacán.

En punto de las 11 am colectivos simpatizantes al  Ejercicio Zapatista de Liberación Nacional y los pueblos zapatistas en lucha, se manifestaron en contra de la guerra paramilitar hacia las  comunidades zapatistas en Chiapas.

Miembros de la Red de Rebeldía y Resistencia de Morelia,  realizaron una manifestación frente a palacio de gobierno del estado de Michoacán con carteles y mantas  para manifestar su solidaridad con las comunidades zapatistas, y su repudio a las agresiones del grupo paramilitar ORCAO.

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Radio Zapatista

Acción global de apoyo al EZLN en la CDMX.

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El pasado 19 de septiembre, el Comité Clandestino Revolucionario Indígena-Comandancia General del EZLN denunció el secuestro de 2 miembros de la Junta de Buen Gobierno Patria Nueva, por parte de miembros de la ORCAO, una organización paramilitar al servicio del Estado. Ésta fue la más reciente agresión, sin embargo, no ha sido la única, pues desde hace más de 20 años, la ORCAO ha perpetrado distintos ataques en contra de las comunidades zapatistas. Ante la complicidad y omisión del gobierno estatal y federal, el EZLN hizo un llamado a la Sexta nacional e internacional a manifestarse en las distintas latidudes para exigir, una vez más, ¡alto a la guerra en Chiapas!

El llamado del EZLN a la movilización tuvo respuesta en más de 40 ciudades alrededor del mundo. En la Ciudad de México, diversos colectivos, organizaciones, redes de resistencia y rebeldía, adherentes a la Sexta Declaración y padres y madres de Ayotzinapa, marcharon sobre Av. Reforma y realizaron un mitin en las oficinas de la Secretaria de Gobernación (SEGOB).

Registro fotográfico:

 

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Medios Libres

(Español) Movilizaciones alrededor del mundo en defensa de las comunidades zapatistas

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El día de ayer, 24 de septiembre de 2021, tuvo lugar una acción global de apoyo al EZLN, ante la escalada de violencia paramilitar contra las comunidades zapatistas, así como la violencia generalizada en el estado suroriental mexicano de Chiapas, provocada por el narcoparamilitarismo de la mano de los tres niveles de gobierno.

Las movilizaciones responden al llamado del EZLN en su comunicado CHIAPAS AL BORDE DE LA GUERRA CIVIL, tras el secuestro de las autoridades civiles zapatistas Sebastián Núñez Pérez y José Antonio Sánchez Juárez, miembros de la Junta de Buen Gobierno del Caracol 10, Patria Nueva, quienes estuvieron privados de la libertad durante 8 días por la organización paramilitar ORCAO, que desde hace 20 años, y en particular en los dos últimos años, ha agredido y violentado a las comunidades zapatistas, con la connivencia de los gobiernos estatales y federales.

Compartimos aquí imágenes de las movilizaciones realizadas en casi un centenar de países alrededor del mundo, proporcionadas por diversos medios libres, organizaciones y colectivos de las distintas geografías, así como los carteles de dichas movilizaciones.

Fotos:

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Teia dos Povos do Ceará | FOB

(Español) Organizaciones brasileñas en solidaridad con lxs zapatistas

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Este 24 de septiembre, día internacional de protestas contra la violencia narcoparamilitar y contrainsurgente en el estado de Chiapas, organizaciones de lucha brasileñas se unen a la exigencia de que el Estado mexicano detenga las agresiones contras los pueblos zapatistas y la violencia en general en el estado.

Teia dos Povos (Tejido de los Pueblos) de Ceará

Nosotrxs, como Teia dos Povos (Tejido de los Pueblos) de Ceará, expresamos nuestra solidaridad con el Ejército Zapatista de Liberación Nacional (EZLN), frente al avance de la violencia perpetrado por el gobierno mexicano.

El pasado 11 de septiembre, el gobierno mexicano fue responsable por el sequestro durante ocho días de las autoridades civiles zapatistas Sebastién Núñez Pérez y José Antonio Sánchez, que sólo fueron liberados después de la fuerte presión de movimientos sociales zapatistas y mexicanos. Además de ese acto criminal, también destacamos la reciente represión policial contra estudiantes de la Escuela Normal Rural de Mactumactzá y las alianzas del gobernador chiapaneco Rutilio Escandón con grupos paramilitares vinculados a la agroindustria local, que se oponen no sólo a los zapatistas, sino a cualquier comunidad autónoma que se posicione contra los intereses del capital en el país.

En su comunicado oficial, el EZLN pide que se realicen manifestaciones de solidaridad frente a embajadas y consulados de México en el mundo este viernes 24 de septiembre. La reivindicación es que todas las instancias de gobierno de México detengan “las provocaciones y abandonden el culto de muerte que profesan”. Nosotrxs, como Teia dos Povos de Ceará, apoyamos las acciones del EZLN, pues la lucha de liberacion pasa por el corazón de todos los pueblos y nuestro enemigo es común.

Ilustración: @bvrity

 


Federación de las Organizaciones Sindicalistas Revolucionarias de Brasil (FOB)

Basta de violencia del Estado mexicano contra las comunidades zapatistas

En el estado de Chiapas, México, comunidades autónomas zapatistas están teniendo a sus líderes secuestrados, sus comercios incendiados, además de otros atentados. Son indígenas, campesinos pobres que se rehúsan a sujetarse a un Estado que los maltrata, por eso son perseguidos.

Ésta es una campaña internacional contra esa injusticia.

Tómale una foto a este cartel y márcanos en Instragram @lutafobce

Federación de las Organizaciones Sindicalistas Revolucionarias de Brasil (FOB)

 

radio
Nodo de Derechos Humanos

(Español) HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN Twittazo contra la guerra y el olvido en #Chiapas

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HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN
Twittazo contra la guerra y el olvido en #Chiapas

Compas de ésta complicada y dolorosa América Latina. En #México mientras celebran la #CELAC, en #Chiapas crece la guerra. Éste 24-S durante 5 min envíen un twitt x minuto a la embajada de México en su país. Mientras los poderosos se reúnen, Nosotroas entrelazamos resistencias

HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN

#ApoyoTotalEZLN
#ChiapasSinParamilitares

Propuestas de Twitts (agregando al inicio la dirección de la Embajada de México de su país, abajo están las direcciones de Twitter de cada embajada):

1. _______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

2. _______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard Alto a la impunidad paramilitar en #Chiapas y a la complicidad del Estado https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

3. _______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard SI AGREDEN A L@S #ZAPATISTAS AGREDEN A MILES DE MOVIMIENTOS DE MÉXICO Y DEL MUNDO https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

4._______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard EL RESPETO A LOS DERECHOS INDÍGENAS NO PUEDE SER OTRA PIEZA RETÓRICA Basta de impunidad y encubrimiento a los paramilitares https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

5. _______ @RutilioEscandon @lopezobrador_ @m_ebrard ALTO AL ENCUBRIMIENTO DE CRÍMENES DE PODER Y DE PARAMILITARES https://t.co/bscuunqnAZ?amp=1 #ApoyoTotalEZLN #ChiapasSinParamilitares

Embajadas de México en los países de la #CELAC:

Antigua y Barbuda
@EmbamexSL

Argentina
@EmbaMexAr

Bahamas
@EmbaMexJam

Barbados
@EmbaMexTT

Belice
@EmbaMexBee

Bolivia
@EmbaMexBol

Brasil
@EmbaMexBra

Chile
@EmbaMexChi

Colombia
@EmbaMexCol

Costa Rica
@EmbaMexCri

Cuba
@EmbaMexCuba

Dominica
@EmbamexSL

Ecuador
@EmbaMexEcu

El Salvador
@embamexesa

Granada
@EmbamexSL

Guatemala
@EmbaMexGua

Guyana
@EmbamexGuyana

Haití
@EmbamexHaiti

Honduras
@EmbaMexHonduras

Jamaica
@EmbaMexJam

México

Nicaragua
@EmbaMexNic

Panamá
@EmbaMexPan

Paraguay
@EmbaMexPay

Perú
@EmbaMexPer

República Dominicana
@EmbamexREPDOM

San Cristóbal y Nieves
@EmbamexSL

Santa Lucía
@EmbamexSL

San Vicente y las Granadinas
@EmbamexSL

Surinam
@EmbaMexTT

Trinidad y Tobago
@EmbaMexTT

Uruguay
@EmbaMexUru

Venezuela
@EmbamexVen

Nodo de Derechos Humanos (https://nodho.net/uncategorized/hoy-decimos-basta-a-la-guerra-vs-el-ezln/)
HOY DECIMOS ¡BASTA! A LA GUERRA VS EL #EZLN, Nodo de Derechos Humanos
Twittazo contra la guerra y el olvido en #Chiapas Compas de ésta complicada y dolorosa América Latina.

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Organización Vineketik en Resistencia

(Español) Comunicado de nuestro compañero Marcelino Ruiz preso en lucha exigiendo el cese de los hostigamientocontra lxs zapatistas y solidarizandoce con ellxs

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CERSS No 10
Comitán, Chiapas, Mexico.

Comunicado de presxs indígenas en lucha

Organización Vineketik en Resistencia, adherente a la Sexta Declaración de la Selva Lacandona del EZLN

Al Ejercito Zapatista de Liberación Nacional.
A la Sociedad Civil nacional e internacional.
Al Congreso Nacional Indígena.
Al Consejo Indígena de Gobierno.
A los medios de comunicación.
Al Pueblo Creyente.
Al pueblo de México y del mundo.

La organización Vineketik en Resistencia repudiamos el acto criminal del secuestro de los dos compañeros zapatistas, ya liberados. Le exigimos al gobierno que cese los hostigamientos a los pueblos autónomos, a los indígenas y campesinos.
Ya que el gobierno corrupto a implementado una serie de estrategias como el secuestro, las desapariciones forzadas, los encarcelamientos con delitos prefabricados, acciones de contrainsurgencia en contra de los pueblos autónomos para intimidar a los pueblos que luchan y resisten al gobierno y sus sistema corrupto.

Al mismo tiempo expresamos nuestra solidaridad a nuestrxs compañrxs zapatistas y decirles que juntxs seguiremos tejiendo rebeldía para construir un mundo con justicia y libertad con conciencia.

Desde mi lugar de lucha y resistencia les envío un saludo combativo.

¡Samir vive!

¡Simon Pedro vive!

¡Justicia para Ayotzinapa!

¡Viva el EZLN!

Atentamente

Marcelino Ruiz Gómez

Organización Vineketik en Resistencia

Puede ser arte de 2 personas
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FrayBa

(Español) La ineficacia y simulación de las acciones del Estado mexicano sigue favoreciendo un ambiente de violencia y terror contra las comunidades de Aldama y Santa Marta

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San Cristóbal de Las Casas, Chiapas

22 de septiembre del 2021

Boletín No. 11

 

  • La ineficacia y simulación de las acciones del Estado mexicano sigue favoreciendo un ambiente de violencia y terror contra las comunidades mayas tsotsiles de Aldama y Santa Marta.
  • La implementación de las Medidas Cautelares 284-18 dadas por la Comisión Interamericana de Derechos Humanos (CIDH) a favor de familias Tsotsiles de las comunidades de Aldama, no impidió la muerte de Domingo Santíz Jiménez.
  • El Frayba solicita a la CIDH pida a la Corte Interamericana de Derechos Humanos (CoIDH), adopte Medidas Provisionales frente a la extrema gravedad, urgencia y perjuicio irreparable que viven las comunidades.

 

El 28 de marzo de 2018 las familias tsotsiles de las comunidades de Aldama presentaron ante la CIDH solicitud de Medidas Cautelares (MC), frente al riesgo a la vida e integridad física y psicológica por los constantes ataques de arma de fuego que estaban – y continúan – recibiendo por parte de grupos armados de corte paramilitar con acción en el municipio de Chenalhó, Chiapas, que ocasiona desplazamiento de personas.

Tres años después de la solicitud y de múltiples comunicaciones enviadas por parte del Frayba y del Estado mexicano, el día 23 de abril de 2021 la Comisión Interamericana de Derechos Humanos (CIDH) bajo la resolución 35/2021 decidió otorgar medidas, registradas con en numero MC-284-18.

A partir de la adopción de las MC, hoy en día suman un total de 121 agresiones por disparos de arma de fuego que han ocasionado la pérdida de la vida de 7 personas[1] y por lo menos han resultado heridas otras 22[2] como resultado del ataque con armas de fuego del grupo armado ilegal que actúa desde Chenalhó, Chiapas.

La más reciente violencia y terror sufrida por los pobladores de las comunidades de Aldama fue perpetrada el 15 de septiembre de 2021; narran los 115 comuneros del lugar que Domingo Sántiz Jiménez, acompañado de otras personas, venían de regreso del municipio de San Andrés Larráinzar, lugar en el que habían realizado compras de mercancías para surtir su tienda abordo de un vehículo de redilas marca Nissan, para posteriormente dirigirse a la comunidad de Xuxch’en municipio de Aldama. Mientras iban pasando el camino, a la altura de la Escuela de Tabak los empezaron a agredir con disparos de armas de fuego en ráfagas, desde los puntos Volcán, Telemax y Tok’oy del sector Santa Martha. Al llegar a la altura del puente Tabak, el vehículo fue alcanzado del lado del copiloto por las múltiples disparos de armas de fuego, aunado a esto por el mal tiempo y los trabajos que se está realizando para la construcción de los 2 km de pavimentación y la destrucción y construcción de un nuevo puente de tabak, por el lodazal que existe, al momento de cruzar el río del puente Tabak, el vehículo quedó atascado en medio del río, los tripulantes descienden del vehículo para resguardarse de los disparos de armas de fuego dirigidos hacia ellos. Al mismo tiempo que el nivel del agua del río subía y por su fuerza arrastro al vehículo unos metros logrando algunos de sus tripulantes salvar su vida con ayuda de habitantes del lugar. Domingo Santíz Jiménez no corrió con la misma suerte, ya que por querer rescatar a sus compañeros fue alcanzado por una bala, cayó y fue arrastrado por el río. Su cuerpo fue localizado el 16 de septiembre del 2021.

Las agresiones armadas han ocasionado desplazamientos forzados de por lo menos 4399, quienes se refugian en las montañas para proteger su vida y que permanecen en un constante estado de angustia y alerta por las agresiones que les hace desplazarse de manera intermitente, sin que se les haya reparado los daños y perjuicios individuales, y comunitarios. Todos estos hechos han sido informados oportunamente a la CIDH.

Por estos hechos y frente a la extrema Gravedad, Urgencia y Perjuicio irreparable que viven los beneficiarios de las comunidades de Aldama, el Frayba ha solicitado a la CIDH pida a la Corte Interamericana de Derechos Humanos, adopte Medidas Provisionales a favor de las 12 comunidades beneficiarias de Aldama dentro de la Medida Cautelar 284-18, a fin de garantizar su vida, su seguridad e integridad física.

La Corte IDH en el caso Asunto del Internado Judicial Capital El Rodeo I y El Rodeo II ha establecido: Que en asuntos como el presente la extrema gravedad de la amenaza se debe evaluar en función del contexto específico, siendo evidente que si derechos fundamentales como la vida y la integridad física se encuentran sujetos a dicho tipo de amenaza se está, en principio, ante un contexto que amerita considerar medidas provisionales.[3]

Así también en el caso de Juan Almonte Herrera refiere que: La información presentada por la Comisión demuestra, prima facie, que las personas indicadas en su solicitud de medidas provisionales y en la Resolución del Presidente de 24 de marzo de 2010 se encontrarían en una situación de extrema gravedad y urgencia, puesto que sus vidas e integridad personal estarían amenazadas y en grave riesgo.[4]

Desde este Centro de Derechos Humanos no nos cansaremos de denunciar a los gobiernos del estado de Chiapas y Federal que no cumplen con respetar, proteger, y garantizar los derechos humanos y la consideración más elemental que los pueblos de Aldama y Santa Martha vivan en paz.

 

[1] Manuel Gómez Pérez, Alonso Gómez Hernández, Isidro Gómez Hernández y/o José Antonio Gómez Hernández (11 años de edad), Martín Ruiz Sántiz, Filiberto Pérez Pérez, Pedro Lunes Pérez y Domingo Sántiz Jiménez.

[2] Carlos Sántiz Ruiz, José Hernández Sántiz, Juan de Jesús Sántiz Pérez, Emiliano Sántiz Hernández, Alonso “N” Jiménez Gómez, Ignacio Pérez Jiménez, Pascual Pérez  Pérez, Apolonia Santiz López, Marcos Gómez López, Rosa Hernández Ruiz,  Santos Armando Ruiz Hernández (3 años de edad en el momento de los hechos), José Guadalupe Sántiz Jimenez, Juan Lunes Sántiz,  María Luciana Lunes Sántiz (13 años en el momento de los hechos),  Mario Pérez Gutiérrez, Juan Pérez Gutiérrez. Andrés Ruiz Sántiz, Raymundo Pérez Sántiz, Armando Pérez Sántiz, Artemio Pérez Pérez, María Isabel Hernández (Religiosa de la iglesia católica, cuando iba a entregar ayuda humanitaria), y  Andrés Jiménez Pérez de las comunidades de Aldama, Chiapas.

[3] Asunto del Internado Judicial Capital El Rodeo I y El Rodeo II respecto de Venezuela, resolución de la Corte de 8 de febrero de 2008.

[4] Asunto Juan Almonte Herrera y otros respecto de República Dominicana, resolución de la Corte de 25 de mayo de 2010.

 

 

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